Un peu de typographie

Le format des papiers

De quoi se compose une lettre?
Toute discipline sérieuse possède un langage qui lui est propre. La typographie ne fait pas exception à cette règle. Le schéma suivant présente quelques-uns des termes utilisés pour décrire les formes de lettre. Vous trouverez dans le glossaire des termes de typographie de nombreux autres termes qui vous permettront de débattre en expert des questions de typographie.


Empattements
L'empattement (serif), partie évasée à l'extrémité d'une lettre, remonte probablement au début de l'époque romaine. Dans son ouvrage de référence «The Origin of the Serif» (L'origine de l'empattement), le père Edward Catich émet l'hypothèse que l'empattement est né du fait que les lettres étaient calligraphiées sur la pierre à l'aide d'un pinceau avant d'être gravées. Les polices à empattement permettent de distinguer plus facilement chaque lettre et offrent une continuité qui améliore la lisibilité du texte. Il existe de nombreux types de polices à empattement. Comparez, par exemple, les empattements effilés de la police Minion aux empattements gras de la police Rockwell :


Œil
L'œil est la hauteur d'un x minuscule. Cette dimension agit sur l'aspect d'une police, le nombre de caractères tenant sur une ligne et, suivant le type de composition, la lisibilité du texte. Dans les très petites tailles de point, par exemple, une police ayant un œil plus grand sera généralement plus facile à lire. Comparez, par exemple, les police Garamond et Helvetica ci-après, chacune ayant un corps de 12 :

Mesure des caractères
Pour comprendre le fonctionnement des caractères, vous devez savoir comment ils sont mesurés. La taille des caractères d'une police se mesure de deux façons : en hauteur et en largeur.

Hauteur des caractères
Autrefois, lorsque les caractères étaient moulés dans le métal, ils étaient vendus à l'unité dans des tailles données mesurées en points. Avec les polices numériques actuelles, il suffit, pour agrandir ou pour réduire la taille des caractères, de sélectionner ou de spécifier la taille voulue.


À l'origine, la taille du point désignait la hauteur du support en métal dans lequel étaient placés les caractères. Cette mesure était légèrement supérieure à la distance entre le point le plus haut et le point le plus bas des caractères.
Un point traditionnel vaut approximativement 0,353 mm (1/72 de pouce). Avec l'arrivée de la publication assistée par ordinateur, le point équivaut exactement à la 72e partie du pouce. 12 points = 1 pica et 6 picas = 1 pouce (27,06 mm).
Cette méthode est encore utilisée aujourd'hui pour mesurer les caractères numériques. Lorsqu'elles sont imprimées avec la même taille de point, certaines polices de caractères paraissent plus petites parce qu'elles ont de très longues hampes supérieures et inférieures. Vous en trouverez un exemple ci-après :


Largeur des caractères
Outre la hauteur des caractères, on mesure également leur largeur. La largeur d'une police est souvent exprimée en nombre de caractères par pica, à savoir le nombre moyen de caractères contenus dans un pica. Cette information est utilisée lors du calibrage pour déterminer si le texte composé dans une police spécifique tiendra dans un espace donné ou, inversement, pour calculer l'espace qu'occupera un texte donné. Elle permet également de comparer les largeurs relatives de différentes polices de caractères.

Variations sur un thème
Une famille de polices est généralement constituée de trois variantes de la police normale : italique, gras et italique gras. De nombreuses familles offrent toutefois des possibilités supplémentaires : variantes de graisse (épaisseur des caractères) allant de très maigre à très gras, variantes de largeur, avec des versions condensées et élargies, multiple jeux de caractères, tels que petites capitales, capitales de titre, capitales ornées, chiffres anciens, variantes, etc.
Vous avez ainsi l'embarras du choix et de la flexibilité nécessaire pour obtenir exactement le résultat que vous recherchez. Lorsque, par exemple, vous disposez d'un espace précis sur une page et que vous devez y insérer une quantité de texte donnée, la version condensée ou élargie d'une police de caractères peut être la solution rêvée !

L'espacement
Les caractères de texte se définissent également par l'espace qui les entoure, que ce soit entre les lettres, entre les mots ou entre les lignes.

Espacement fixe contre espacement proportionnel
Les polices de machine à écrire sont généralement des polices à espacement fixe. Dans ce type de police, chaque caractère, qu'il soit un « i » ou un « m », occupe la même place. Une police à espacement fixe telle que Courier, par exemple, convient très bien au mécanisme simple d'une machine à écrire.


Les textes destinés à une impression commerciale ainsi que les caractères numériques utilisés sur les ordinateurs sont généralement conçus pour des polices à espacement proportionnel. Dans ce type de police, chaque lettre occupe un espace proportionnel à sa taille, afin d'améliorer l'esthétique et la lisibilité du texte. Ce type de police vous permet en outre d'insérer davantage de texte sur une page qu'avec une police à espacement fixe.

Longueur de ligne
Lorsque les lignes d'un texte sont trop longues, le lecteur perd du temps à passer d'une ligne à l'autre, ce qui affecte la fluidité du texte. D'un autre côté, des lignes trop courtes créent des coupures dans le texte et interrompent le lecteur. La longueur de ligne idéale dépend de la police utilisée, de la taille des caractères, de l'interlignage et de la longueur du texte. Pour une lisibilité optimale, il est recommandé d'utiliser des lignes de 55 à 60 caractères, soit 9 ou 10 mots.

Interlignage
L'interlignage est la distance qui sépare deux lignes de texte ; elle se mesure en points. À l'époque où les caractères d'imprimerie étaient en plomb, les imprimeurs inséraient des bandes de plomb entre les lignes de texte afin d'en faciliter la lecture. C'est de là que vient le terme anglais « leading » (lead = plomb). La plupart des applications de traitement de texte et de mise en page vous permettent de régler l'interlignage. Lorsque vous créez un document, essayez différents interlignages et comparez le degré de lisibilité obtenu.


Espacement des mots et des lettres
Vous pouvez également modifier l'espacement entre les mots (intermot) et entre les lettres (interlettrage) afin d'améliorer la lisibilité d'un texte. Bien que les polices soient conçues au départ avec un interlettrage convenant dans la plupart des situations, il s'avère parfois nécessaire de diminuer ou d'augmenter l'interlettrage afin de produire une impression plus compacte ou plus fluide. Par exemple, les mots imprimés tout en MAJUSCULES sont généralement trop serrés car le créateur de la police a conçu cette dernière en supposant que les minuscules et les majuscules seraient mélangées. Si votre application vous permet de modifier l'interlettrage, il est recommandé d'augmenter légèrement l'espace entre les lettres lors de l'impression d'un mot tout en majuscules.

Certaines combinaisons de lettres, en particulier dans les mots en majuscules, sont inélégantes si elles n'ont pas fait l'objet d'un crénage. Le crénage est l'ajustement de l'espace entre certaines paires de lettres. Il est particulièrement important dans les grandes tailles de point. En effet, plus les caractères sont grands, plus l'espace qui les sépare est important.

Dans les textes alignés à gauche, alignés à droite ou centrés, l'espacement entre les mots, ou intermot, reste inchangé. En revanche, dans les textes justifiés, l'intermot change d'une ligne à l'autre de telle sorte que les marges de gauche et de droite restent identiques. L'espacement entre les mots devant être aussi uniforme que possible, il est parfois nécessaire de faire appel à la fonction de césure de mots afin d'améliorer la lisibilité. Un intermot plus étroit permet d'insérer davantage de texte sur une page, mais peut rendre la lecture pénible car les mots sont plus difficiles à distinguer les uns des autres. Avec un intermot plus large, il est possible de remplir une page entière avec une petite quantité de texte, mais si les mots sont trop éloignés les uns des autres, la lecture sera tout aussi malaisée.

Couleur typographique
Les considérations d'espace et la police de caractères proprement dite ont un effet sur ce que l'on appelle la «couleur typographique». Ce terme peut sembler mal approprié à une époque où même les applications de traitement de texte permettent de changer la couleur d'un texte (rouge, bleu ou vert par exemple) tout aussi facilement que la taille des caractères. La couleur typographique est en réalité la valeur de gris, ou la densité, d'un bloc de texte sur une page. Une page peut comporter des blocs clairs ou sombres, mais pour faciliter la lecture, il est conseillé de conserver une certaine uniformité de densité.

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Utilisation du caractère adéquat
La différence entre un document ordinaire et un document de qualité professionnelle tient parfois à peu de choses. Les rubriques suivantes se rapportent à un certain nombre de règles typographiques qui sont fréquemment négligées ou mal appliquées.

Caractères italiques, gras et majuscules
Dans la plupart des cas, il vaut mieux éviter le soulignement, reliquat des machines à écrire, qui ne disposaient pas de caractères italiques. Vous pouvez parfois recourir au soulignement, lorsque vous ne disposez pas des caractères italiques appropriés. Utilisez l'italique pour souligner un élément de texte ou, par convention, pour les titres d'un livre, d'un périodique ou d'une pièce de théâtre, par exemple.
Si vous souhaitez faire ressortir un élément sur une page, utilisez les caractères gras, mais n'oubliez pas que c'est le contraste qui attire l'attention du lecteur. Une texte bien conçu se caractérise par la clarté de la hiérarchie des informations qu'il présente. Si vous mettez tout le texte en gras, rien ne ressortira.
Si vous voulez mettre un texte en valeur, évitez les majuscules ; elles sont moins lisibles que les minuscules et elles interrompent le flux du texte. Si vous tenez à utiliser des majuscules, ayez recours à une police de petites capitale.


Utilisation correcte des guillemets
Les guillemets neutres (' et ") disponibles sur votre clavier sont généralement utilisés pour indiquer des unités de mesure en typographie anglo-saxone. Ces guillemets sont rarement utilisés en typographie française. En typographie française, les guillemets « et » devraient être utilisés dans la quasi-majorité des cas.

Polices spécialisées
Il est commercialisé un certain nombre de polices spécialisées. D'usage moins courant, ces polices peuvent conférer à vos documents un caractère professionnel : chiffres anciens, petites capitales, ornements et ligatures, pour n'en citer que quelques-uns. Les ligatures, par exemple, permettent d'éliminer les combinaisons de caractères inélégantes. Comparez ainsi les ligatures ff, fi, fl, ffi et ffl de la seconde ligne aux caractères individuels de la première ligne.

Nombres minuscules et majuscules
Lorsque vous insérez des nombres dans un texte en minuscules, il vaut mieux utiliser des chiffres minuscules. Vous avez bien lu ! Il existe des polices de chiffres minuscules et des polices de chiffres majuscules.

Les chiffres minuscules sont souvent appelés chiffres anciens et peuvent être dotés de hampes supérieures et inférieures. Les chiffres majuscules conviennent parfaitement dans des feuilles de calcul, mais ils sont généralement trop grands pour le corps d'un texte.

Petites capitales
Les petites capitales sont une version réduite des majuscules normales. Elles sont conçues pour être utilisées harmonieusement avec des minuscules, c.-à-d. de façon à ne pas diminuer la lisibilité du texte, comme peuvent le faire les majuscules normales.
Certaines applications permettent d'appliquer un style de petites capitales à un texte. Cela signifie généralement qu'elles réduisent la taille des majuscules normales à la taille approximative des minuscules. Les caractères résultants sont souvent trop clairs, même si l'application tente de compenser en les élargissant, par exemple.
Les petites capitales sont utiles pour les en-têtes de paragraphe ou les titres de chapitre, pour mettre l'accent sur certains termes ou expressions importantes ou pour introduire un paragraphe. L'utilisation de véritables petites capitales dans un document sont un signe de professionnalisme

Alignement
Le type d'alignement que vous appliquez à un texte contribue à définir le caractère du document. Un texte aligné d'un seul côté paraît moins formel. Un texte aligné à gauche est plus facile à lire qu'un texte aligné à droite. Dans la plupart des cas, il vaut mieux éviter l'alignement à droite, sauf dans des cas bien précis où la conception l'exige. Un texte justifié est un texte aligné des deux côtés. Ce type d'alignement s'utilise traditionnellement dans les livres, les journaux et les lettres d'informations. La justification peut donner à un texte un caractère plus formel. Elle permet en outre d'insérer davantage de texte sur une page.



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L'esperluette

Lors de la création d'une nouvelle police de caractères, un concepteur peut exprimer pleinement ses talents artistiques dans l'esperluette. Le terme anglais «ampersand» (esperluette), comme Geoffrey Glaister l'explique dans son livre intitulé « Glossary of the book », est une combinaison de and (&) per se and, qui signifie littéralement « (le caractère) et lui-même (est le mot) and ». En français, «esperluette» viendrait du latin perna (jambe) ou du français espere (sphère) croisé avec sphaerula, peut-être avec influence du latin uvula (luette) (définition du Petit Robert). Le symbole & est dérivé de la ligature du mot latin ET ou et.

L'un des premiers exemples d'esperluette apparaît sur un fragment de papyrus datant d'environ 45 ap. J.-C. Représentée dans le style de la cursive du début de l'époque romaine (typique de l'écriture de cette période), elle illustre la ligature ET. Un exemple de graffiti de Pompéi datant de 79 ap. J.-C. (fig. 1) révèle également la combinaison des lettres majuscules E et T, dont le style d'écriture est à nouveau du début de l'époque romaine. Sur des documents postérieurs, la cursive minuscule romaine est moins formelle, plus coulante, prend la forme de l'italique d'aujourd'hui et la ressemblance avec la ligature et (fig. 2) se rencontre plus fréquemment. La liaison entre les capitales E et T est à l'origine le résultat d'une écriture rapide. Toutefois, les manuscrits calligraphiques postérieurs montrent une section centrale du E, composée de demi-cercles, reliée au T par une ligne horizontale coulante, de manière plus délibérée. Finalement, cet ensemble étroitement lié prend la forme d'un symbole (fig.3). Lorsque les scribes développent la minuscule carolingienne vers 775 ap. J.-C., la ligature fait déjà partie de leur répertoire (fig. 4). Selon la vitesse d'écriture ou le degré de perfectionnisme du calligraphe, à partir du VIIIème siècle, la combinaison des lettres E et T ressemble plus ou moins à la ligature adoptée avec l'invention de l'imprimerie au début du XVème siècle (fig.5).
La section gauche de l'esperluette est constituée soit d'un e minuscule, soit d'un E majuscule composé de deux demi-cercles. Le délié oblique, fréquemment terminé en forme de goutte (fig. 6), pourrait être un vestige du trait horizontal dans le E ou e ; une autre hypothèse le décrit comme l'une des lignes le reliant au caractère suivant, technique adoptée par les calligraphes pour accélérer le flux d'écriture. Comparativement à la forme italique, la version romaine de l'esperluette ne rappelle que légèrement le trait du t (fig. 7).
Aujourd'hui, le symbole & est partie intégrante des nouvelles polices de caractères et des alphabets latins existants. Les variations de l'esperluette sont multiples, en particulier dans les italiques. À l'exception du & simple, qui apparaît dans le style romain, les esperluettes en italique (influencées par la calligraphie), disposent de formes beaucoup plus dynamiques. Certaines polices de caractères possèdent de très belles esperluettes ; l'illustration (fig. 10) présente des esperluettes en italique pour les polices Garamond, Minion, Janson, Meridien, Baskerville et Caslon. Avec l'apparition des polices mécane et sans-serif au XIXème siècle, les typofondeurs privilégient la version latine de l'esperluette (&), en italique comme en styles romains (fig. 11).
Il existe de nombreuses variantes intéressantes de l'esperluette, comme celles créées par le grand maître de l'écriture de la Renaissance, Ludovico degli Arrighi (fig. 8) ou le talentueux créateur de caractères français du XVIe siècle, Robert Granjon (fig. 9). La nouvelle famille de caractères Poetica, créée par Robert Slimbach d'Adobe et basée sur Cancelleresca (écriture manuscrite commerciale utilisée au cours de la Renaissance italienne), offre une riche collection de 58 esperluettes différentes (fig. 12).
L'utilisation de l'esperluette varie d'une langue à l'autre. Dans les textes anglais et français, l'esperluette peut se substituer aux mots and et et, les deux versions pouvant être utilisées dans le même texte. La règle allemande n'autorise l'utilisation de l'esperluette que dans les raisons sociales ou les titres officiels composés de deux noms distincts ; d'après les règles de la composition allemande, l'esperluette ne peut pas être utilisée dans un texte. Quelle que soit la langue, les qualités calligraphiques de l'esperluette en font un élément de création incontournable qui donne à une page son charme et sa personnalité.

Quelques règles de mise en page

Puces
Un élément graphique, utilisé de façon systématique, peut enrichir un document visuellement tout en mettant en valeur les points importants. Au lieu des puces standard, consultez les polices de symboles, dans la vue Classifications, afin d'y trouver un style de puce adapté au message que vous voulez faire passer. Si votre document est très simple et qu'il comporte peu d'éléments à puce, ce type de fioriture vous permettra d'en enrichir la présentation. N'en abusez pas toutefois. Un document trop chargé est plus difficile à lire.

Texte en négatif
L'utilisation de caractères blancs sur un fond noir est à utiliser avec parcimonie, et jamais dans de petites tailles de point.

Utilisation de styles
Les styles sont des descripteurs de paragraphe qui spécifient, par exemple, la police de caractères et le retrait à appliquer à un paragraphe. Si votre application de publication assistée par ordinateur gère les styles, vous pouvez créer un jeu de styles que vous appliquerez à vos documents afin d'assurer une certaine cohérence de présentation.
L'utilisation de styles vous permet également de modifier aisément la présentation d'un document complet en modifiant simplement la définition du style.

Simplicité
En matière de documentation, bon sens et simplicité sont les principaux ingrédients d'une bonne présentation. Examinez des documents similaires à celui que vous souhaitez produire et inspirez-vous de celui ou ceux dont la présentation vous paraît plus attrayante. Vous trouverez ci-après un certain nombre de règles fondamentales :
Les lignes longues sont difficiles à lire. Pour une lisibilité optimale, il est recommandé d'utiliser des lignes de 55 à 60 caractères, soit 9 ou 10 mots. Ayez recours aux colonnes multiples ou, pour les lignes longues, augmentez légèrement l'interlignage afin de faciliter le passage d'une ligne à l'autre lors de la lecture.
Ne surchargez pas les pages du document : prévoyez de l'espace blanc afin de rendre la lecture plus fluide.
Faites ressortir les points importants à l'aide de retraits et de listes à puces. Pour faciliter la recherche des informations, utilisez une structure de titres, sous-titres et en-têtes.
Évitez d'utiliser plus de deux familles de polices sur la même page. Une police à empattement et une police sans empattement créent généralement un ensemble agréable. Une solution courante consiste à utiliser une police sans empattement pour les titres et une police à empattement pour le corps du texte.
Pour la mise en valeur de certains mots ou expressions, préférez l'italique et le gras aux majuscules. Un texte tout en majuscules est en effet difficile à lire.
La lecture d'un texte aligné à gauche est plus aisée que celle d'un texte entièrement justifié. D'autre part, l'alignement à gauche est moins formel que la justification. Choisissez donc votre alignement en fonction du type de document.
Graphiques, illustrations et diagrammes enrichissent un document et contribuent à clarifier le texte. Pour séparer des blocs de texte, vous pouvez utiliser des lignes horizontales et verticales, mais n'en abusez pas.

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